TERRALOCA ET MOI
Une aventure où le capital humain est encore présent, où la passion vit dans chaque geste pendant que les savoirs se transmettent.
Une aventure où le capital humain est encore présent, où la passion vit dans chaque geste pendant que les savoirs se transmettent.
C’était le moment pour moi de rassembler mes compétences et de me tourner vers ceux qui ont aujourd’hui beaucoup à nous offrir. Comme un grand nombre de personnes, de ma génération, nous n’avons pas connu cette abondance de produits bio, ni l’appellation de ce que nous achetions autrefois, vantés par les médias, « malbouffe ». Pour ma part, j’ai dû changer mon alimentation, me tourner tantôt vers des produits bio, puis locaux. De nombreux reportages vous montre que les produits transformés, l’agriculture de masse ou l’élevage intensif sont peu recommandés. Il en est de même pour certains produits venant de l’étranger qui n’ont pas les mêmes restrictions que nous.
Pour moi l’avenir est à proximité avec des méthodes saines de production. J’ai d’abord souhaité faire bénéficier mes proches de cette proximité, cette connivence, avec les producteurs locaux. Ensuite mes amis, puis dans mon élan toute les personnes réceptives à l’économie local et à la qualité des produits finis.
Le travail d’un producteur qui lutte contre les nuisances naturelles sans produits chimiques au risque de perdre une partie de sa récolte, c’est une prise de risque mais une fois récolté ça donne un produit sain et savoureux.
Il en est de même pour l’artisan qui grâce à lui fait perdurer le savoir-faire, la méthodologie de nos aïeux. Ce ne sont pas des méthodes à rendements intensifs, on s’y retrouve avec la qualité, ce qui justifie parfois des prix d’achat légèrement plus chère. Si vous restez dans la saisonnalité les prix ne sont pas si différents, ensuite il faut comparer ce qui est comparable. Je ne ferai pas de comparaison entre une tomate ronde goûteuse et sans produits chimiques idéale pour une « tomate mozza », avec une tomate ronde classique sans gout avec pesticides d’une grande surface, même si il y a un euro d’écart le kilo entre les deux, ce sont deux produits qui n’ont en commun juste le nom: « tomate ronde ».
Pour rassembler toutes ces connaissances, toutes ces qualités, j’ai créé une entreprise de vente de produits de la région Occitanie. Je souhaite avant tout mettre en avant leurs produits et leurs savoir-faire. Je souhaite faire passer un message, nous avons d’excellents producteurs locaux il faut les soutenir. De plus, mangez local vous vous y retrouverez, en saveur, en qualité, en fraîcheur…
N’hésitez pas à nous écrire pour toutes vos remarques..
L’équipe de Terraloca!
Contactez-nousUne aventure où le capital humain est encore présent, où la passion vit dans chaque geste pendant que les savoirs se transmettent.
Ecolocroc« L’arbre semble vouloir s’adresser aux grands primates irrévérencieux que nous sommes devenus. Des primates aujourd’hui perdus au bord du chemin pour avoir sottement oublié qu’ils vivaient sur la planète des arbres. » J. T.
Jacques Tassin est chercheur en écologie végétale au Cirad
Vous aussi, chaque jour, pouvez faire un geste pour eux dans votre quotidien!
EcolochocSans parler de la qualité des aliments vendus (y a pas photo), le grand soucis des grands magasins vient aussi des emballages. Un désastre écologique que vous n’avez pas chez les commerçants de proximités ou très peu: vous pouvez choisir pour du vrac, prendre des légumes dans votre panier sur un marché… Sur notre blog, vous trouverez des liens, recettes, témoignages.. qui permettent de devenir moins dépendant de la grande distribution.
Pour commencer, une p’tite recette de dentifrice!